Avatars et meme
Pseudo post créatif, attendu qu'hier soir j'ai essuyé une nouvelle crise de "fangirl en manque", et que j'ai passé mes nerfs comme j'ai pu. Résultat, une poignée d'avatars Viewfinder ( avec un bonus Crimson Spell ). Comme de juste, Master Feilong est à l'honneur :
100*100
150*150
Voilà, ça ne casse pas trois pattes à un canard, mais... Feilong forever ♥
Et puisqu'on parle de petits plaisirs, le dernier meme taggué par Lilou :
“Si Amélie Poulain aime briser la croûte des crèmes brûlées avec la pointe de la petite cuillère, faire des ricochets sur le canal Saint-Martin et plonger la main dans un sac de grains, nous avons tous et toutes des petits plaisirs qui n’appartiennent qu’à nous et, qui quand on se sent épuisé, nous redonnent du baume au coeur.”
J'ai beaucoup de petits plaisirs, comme tout le monde, mais puisque je me doute qu'ils vont vous faire rire, j'ai sélectionné ces trois là :
La nostalgie des années théâtre :
N'est pas neuneu qui veut, il est de certaines habitudes qui s'entretiennent. Celle de la marrade en solitaire, notamment. Et dans mon cas, le meilleur moyen pour ça, c'est encore d'ouvrir une pièce classique qui m'a particulièrement marquée, et de me la jouer toute seule devant mon miroir. J'ai toujours été très mauvaise en déclamation ( très mauvaise sur scène en général, d'ailleurs... ô mes trois heures de pratique par semaine, je ne vous regrette absolument pas ! ), mais... les TIRADES, quoi *___* Je sais que ce n'est pas leur vocation première, mais que ce soit chez Shakespeare, Corneille ou encore le vieux Racine, elles sont...à mourir de rire XD Vraiment, les tirades en vers, c'est génial. Faites l'expérience :
Est-il quelque ennemi qu'à présent je ne dompte ?
Paraissez, Navarrais, Mores et Castillans,
Et tout ce que l'Espagne a nourri de vaillants ;
Unissez ensemble, et faites une armée,
Pour combattre une main de la sorte animée :
Joignez tous vos efforts contre un espoir si doux ;
Pour en venir à bout,c'est trop peu que de vous.
Corneille, Le Cid, V 1.
Tout seul, devant le miroir, avec le ton du Matamore ou encore celui de l'amoureux de base, et je vous garantis le fou rire dans la minute. En vers, je repère. La prose, ça marche beaucoup moins bien... Mais le nec-plus ultra, ce sont bien entendu les tirades de Cyrano de Bergerac. Là, on ne rit plus... Ou du moins plus seulement :) ( et si en plus vous pouvez vous réciter celles du dernier tomes de De cape et de crocs, alors c'est fini, vous êtes mort XD )
La nostalgie des années biberons :
Avec, entre autres :
( C'est Winniiiiiiiiie, mon ami Winniiiiiiiiie <3 )
( zouic ! zouic ! zouic ! )
( Bercé par le vent et les flots, sur la route de la soie... <333 )
Bon, bien sûr, le truc c'est de ne pas se faire surprendre quand on est en train de les hurler à tue-tête XD
La nostalgie du grand air :
On gave Raoul-le-mp3, on met ses baskets et on sort. Pour marcher, courir, rêver... Faire tout ce qu'on ne peut pas faire quand on est enfermé. On peut monter en croupe derrière le Chevalier, tirer l'épée avec Pardaillan, fantasmer sur Bragelonne et Mordaunt, faire la révolution avec la Tulipe Noire, regarder l'empire se préparer avec Roland de Montrevel... On peut rire toute seule au milieu des corons désertés sans crainte de déranger les lapins, et sans penser au travail qu'il faudra reprendre une fois qu'on aura repassé la porte.
Une petite pause, de temps en temps :)
100*100
150*150
Voilà, ça ne casse pas trois pattes à un canard, mais... Feilong forever ♥
Et puisqu'on parle de petits plaisirs, le dernier meme taggué par Lilou :
“Si Amélie Poulain aime briser la croûte des crèmes brûlées avec la pointe de la petite cuillère, faire des ricochets sur le canal Saint-Martin et plonger la main dans un sac de grains, nous avons tous et toutes des petits plaisirs qui n’appartiennent qu’à nous et, qui quand on se sent épuisé, nous redonnent du baume au coeur.”
J'ai beaucoup de petits plaisirs, comme tout le monde, mais puisque je me doute qu'ils vont vous faire rire, j'ai sélectionné ces trois là :
La nostalgie des années théâtre :
N'est pas neuneu qui veut, il est de certaines habitudes qui s'entretiennent. Celle de la marrade en solitaire, notamment. Et dans mon cas, le meilleur moyen pour ça, c'est encore d'ouvrir une pièce classique qui m'a particulièrement marquée, et de me la jouer toute seule devant mon miroir. J'ai toujours été très mauvaise en déclamation ( très mauvaise sur scène en général, d'ailleurs... ô mes trois heures de pratique par semaine, je ne vous regrette absolument pas ! ), mais... les TIRADES, quoi *___* Je sais que ce n'est pas leur vocation première, mais que ce soit chez Shakespeare, Corneille ou encore le vieux Racine, elles sont...à mourir de rire XD Vraiment, les tirades en vers, c'est génial. Faites l'expérience :
Est-il quelque ennemi qu'à présent je ne dompte ?
Paraissez, Navarrais, Mores et Castillans,
Et tout ce que l'Espagne a nourri de vaillants ;
Unissez ensemble, et faites une armée,
Pour combattre une main de la sorte animée :
Joignez tous vos efforts contre un espoir si doux ;
Pour en venir à bout,c'est trop peu que de vous.
Corneille, Le Cid, V 1.
Tout seul, devant le miroir, avec le ton du Matamore ou encore celui de l'amoureux de base, et je vous garantis le fou rire dans la minute. En vers, je repère. La prose, ça marche beaucoup moins bien... Mais le nec-plus ultra, ce sont bien entendu les tirades de Cyrano de Bergerac. Là, on ne rit plus... Ou du moins plus seulement :) ( et si en plus vous pouvez vous réciter celles du dernier tomes de De cape et de crocs, alors c'est fini, vous êtes mort XD )
La nostalgie des années biberons :
Avec, entre autres :
( C'est Winniiiiiiiiie, mon ami Winniiiiiiiiie <3 )
( zouic ! zouic ! zouic ! )
Bon, bien sûr, le truc c'est de ne pas se faire surprendre quand on est en train de les hurler à tue-tête XD
La nostalgie du grand air :
On gave Raoul-le-mp3, on met ses baskets et on sort. Pour marcher, courir, rêver... Faire tout ce qu'on ne peut pas faire quand on est enfermé. On peut monter en croupe derrière le Chevalier, tirer l'épée avec Pardaillan, fantasmer sur Bragelonne et Mordaunt, faire la révolution avec la Tulipe Noire, regarder l'empire se préparer avec Roland de Montrevel... On peut rire toute seule au milieu des corons désertés sans crainte de déranger les lapins, et sans penser au travail qu'il faudra reprendre une fois qu'on aura repassé la porte.
Une petite pause, de temps en temps :)